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Nous, opticiens indépendants, avons construit une solution 100% santé, 100% technique, 100% acuité, à prix bloqués et ouverte à tous, sans aucun critère de revenu.
SVU, Santé Visuelle Universelle, est l’alternative économique et juste qui :

  • Préserve la santé visuelle des français tout en prenant en compte la réalité économique de la sécurité sociale
  • Offre un accès universel aux équipements optiques adaptés à chaque besoin des français
  • S’attaque à la précarité de plus de 4 millions de français à faible revenu mais hors du dispositif CMU-C

Inspirée du modèle de la CMU-C, mais fondamentalement différente par son accès ouvert à tous, la SVU, Santé Visuelle Universelle, est une offre 100% santé, 100% technique, 100% acuité à prix bloqués (59€ pour un équipement unifocal, 119€ pour un équipement progressif).

La SVU couvre tous les besoins en équipement optique unifocaux et progressifs (hors basse vision et autres pathologies qui exigent un équipement spécifique).
Elle s’adresse à tout le monde, sans distinction de revenu.

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IL EST TEMPS DE DIRE LA VERITE

Le projet de loi «  Le Roux », s’il est définitivement adopté cet automne, mettra en péril l’égalité des soins pour tous les français. Son intention de départ est pourtant bonne : Mieux rembourser les assurés, mais à la condition d’allez chez des professionnels de santé sous contrat avec leur mutuelle. Concrètement cela veut dire que l’assuré n’aura plus la liberté de choisir son opticien ou son dentiste, et surtout qu’il n’aura plus accès aux meilleurs produits. La qualité de ses équipements va baisser. Double peine s’il consulte un professionnel en dehors du réseau de sa mutuelle : il sera moins bien remboursé et ses cotisations ne baisseront pas pour autant !

LES PROFESSIONNELS S4INDIGNENT !

«  Dans le cas d’un enfant qui a une correction de +5.00 dioptries, son verre sera très épais et sa lunette lourde. »

 

«  La MGEN nous impose le choix des verres, si l’opticien appartient à ce réseau, il ne pourra pas proposer un verre aminci si la correction est inférieure à +6.00 dioptries ; dans le cas d’un enfant qui a une correction de + 5.00 dioptries, son verre sera très épais et sa lunette lourde. Si le choix de monture est restreint (prix limité pour la monture), et qu’une monture inadaptée ou en métal est vendue, elle se déformera, glissera sur le nez de l’enfant et il regardera au-dessus de ses verres. Ul peut rester 6 mois ainsi ! Quand on sait à quel point il est important de porter sa correction pour un enfant avant l’âge de 6 ans afin de permettre un développement visuel harmonieux… »

 

«  Ce serait… imposer un conventionnement sélectif sur des bases plus économiques que sanitaires… »

«  L’Etat est dans son rôle, il organise les relations entre les uns et les autres. Mais il doit prendre ses responsabilités et faire en sorte que les relations commerciales ne soient pas privilégiées au détriment de la santé publique. Une éventuelle adoption de l’article 22 fait craindre une généralisation de la pratique des remboursements différenciés à l’ensemble des professions médicales. Ce serait légitimer le rôle de régulateur qu’ambitionnent de jouer les mutuelles santés et imposer un conventionnement «  sélectif » sur des bases plus économiques que sanitaires : sélection des professionnels, maîtrise des tarifs, limitation de la prestation du professionnel à un niveau imposé par le payeur. »

HALTE AUX IDEES RECUES

«  Les réseaux de soins proposent des réductions tarifaires de 30% à 40% sans diminuer la qualité… »

Soyons sérieux !

Produit ressemblant mais pas identique, équipement standard mais moins performant. Ces mutuelles proposent surtout une baisse de qualité.

L’opticien va devoir choisir un produit qu’il achète moins cher ou un produit plus ancien ou un produit importé ou bien les trois. Les réseaux de soins ne font pas baisser les prix de 30% à 40%

C’est la valeur des produits qui se dégrade, l’innovation et le conseil en santé visuel qui sont réduits.

L’opticien n’est pas un commerçant comme les autres. Il est avant tout un professionnel de la santé.

Il ne compte pas son temps en conseil et information. Il se forme régulièrement pour maîtriser les dernières techniques optiques et actualiser ses connaissances. Il s’équipe d’un matériel de pointe, très coûteux.

 

 

 

 

Les 9 étapes de son métier :

  1. Analyse des besoins et attente visuelles. Etape essentielle pour le bon choix des verres.
  2. Contrôle visuel ou mise en situation d’usage. L’examen peut être long, sans aucune facturation dans la plupart des cas.
  3. Choix des montures, sélection essai, étude de prix.
  4. Choix des verres, option, prix, et établissement d’un devis.
  5. Prise de mesure. L’acte clé qui détermine la qualité de vision et le confort.
  6. Commande du produit : traitement et réception des verres – traitement tiers-payant…
  7. Centrage, meulage et montage.
  8. Restitution : test qualité de la performance visuelle.
  9. SAV régulier, service traditionnellement gratuit.

 

 

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